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www.sylvainbaumann.com



SOMETIMES WHEN I WAKE UP IN THE MIDDLE OF THE NIGHT I DON'T KNOW WHERE I AM

SOMETIMES WHEN I WAKE UP IN THE MIDDLE OF THE NIGHT I DON'T KNOW WHERE I AM
2010. Mixedmedia Installation. MEDIA: MDF wood, anthracite glossy paint, anthracite coal, metal wire, fluorescent tubes, grooved plexiglass, sound device 14‘ loop, entrance : two steps stairs, black plastic curtain. Swiss Art Awards, Basel, Switzerland.
Cette installation est un jeu de tension. Constituée d’éléments abstraits et concrets, à lire sur un mode littéral et transfiguré, elle forme un environnement à la fois séduisant et agressif, protecteur et emprisonnant, appaisant et irritant. Elle coupe un temps le spectateur du monde extérieur et le place dans un univers à l’image d’un rêve, où malgré l’impression d’une cohérence évidente, les logiques dépassent tout entendement. Elle forme un carcan partiellement inversé dont les éléments protecteurs semblent se retourner sur eux-mêmes.

Cette installation propose ainsi une réflexion sur le positionnement de l’homme en fonction du degré de convivialité de l’espace qu’il occupe. Elle contribue au développement de notre recherche sur la notion de “conduction” dans la relation que l’homme entretient avec son environnement, à savoir comment, dans l’élaboration de sa conduite au quotidien, l’homme est conduit par des intentions extérieures.











ZONE

ZONE
Mixedmedia Installation. MEDIA: MDF wood. timber beams. shiny acrylic paint. sound device. metal wire. 2010. BBS (Basel-Berlin-Sarnen). Sarnen. Switzerland.

ZONE

ZONE

Thirteen artists from Berlin and Basel participated in the project BBS (Basel-Berlin-Sarnen) where they worked for two weeks in the ancient arsenal on Landenberg in Sarnen Switzerland.

The installation ZONE by Florine Leoni and Sylvain Baumann is based on historical research of the arsenal and enters into a dialog with the exhibition space and its architecture. The work evokes questions about the interaction between contemporary systems of and perceived needs for protection and security and the resulting fears evoked by their existence.

Participating artists: Celia Sidler (organizer). Flavia Spichtig (organizer). Nathalie Sidler. Natalia Korotyaeva. Lorenza Diaz. Jan van Oordt. Mitya Churikov. Raphael Linsi. Florine Leoni. Sylvain Baumann. Friedemann Heckel. Claudia Dorfmüller. Alessandro Rauschmann.












STATION

STATION
Mixedmedia Installation. 2010. MEDIA plastic floor. white glossy paint. sound device 7' loop. WE LEFT THE WARM STABLE AND ENTERED THE LATEX VOID. Montreal. Canada.

STATION

STATION

«We wish to investigate the effects of the character "slick"and "impermeable" of our everyday life, in which our bodies slide without ever really finding our junction.»

STATION is after HOW CLOSE WE ARE and ENCOUNTER the third installation which is based on the reflection about the compatibility between the human and its environment.












ENCOUNTER

ENCOUNTER
Mixedmedia Installation. 2010. AXENÉO7. Gatineau. Canada.

ENCOUNTER

ENCOUNTER

ENCOUNTER

ENCOUNTER

The proposition ENCOUNTER of Sylvain Baumann and Florine Leoni grew out of a situation in which they found themselves, in the underground food court of an Ottawa shopping mall. The place exuded discomfort and monotony of the kind we are faced with daily, to the point of no longer being aware of it. Gyms, waiting rooms, large office spaces schematically subdivided, public thoroughfares—those spaces whose function is to organise their users—are employed by Sylvain Baumann and Florine Leoni to enquire into the nature of the human model that was considered when they were constructed. Their work consumes to its very boundaries the space at their disposal by rendering human posture precarious in the extreme. They thereby suggest the limits of our compatibility with the environment which we ourselves have created (or organised). Their work does not attempt to reproduce a specific place; on the contrary, it is a synthesis of these different spaces, through which is presented a critique of the physical and virtual structures which impose on us behavioural guides.

Jonathan Demers . Director of AXENÉO7.












How close we are

How close we are
2009. Mixed-media installation. Used metal grids, white fluorescent lamps. Sound device. 7‘ loop. Projet realised in collaboration with Florine Leoni (www.florineleoni.com) for the Regionale 10 of Basel, curatoring by Andrea Domesle for the Kunsthalle Palazzo (http://www.palazzo.ch/Index4_0.htm), Liestal (CH), "Wonder Land".












FR
Nos interventions s’accaparent les espaces mis à disposition jusqu’à leurs limites, et précarisent à l'extrême les postures humaines. Une telle transformation se retrouve avec notre installation How Close We Are, présenté au Kunsthalle Palazzo en Suisse. La réflexion fut engagée à partir de grilles métalliques usagées récupérées dans une brasserie abandonnée. À cet ensemble fut intégré par la suite un dispositif sonore et un complément lumineux. Guidé par le refus catégorique de toutes forme identifiable, cet assemblage propose un espace desséché, où la consistance de l’air, de la lumière et des matériaux semble avoir fait perdre toute espèce de convivialité au lieu, et où la seule question que le visiteur aurait à se poser serait celle de sa bienvenue en ces lieux.

GB
Our exhibitions conquer the spaces they inhabit and lay siege to human conduct; just such a happening can be found in our installation How Close We Are exhibited at the Kunsthalle Palazzo in Switzerland. The brooding sally uses metal grids recovered from an abandoned brewery to which sound and lighting are integrated. Guided by a categorical refusal of all identifiable forms, a bleak space is created where the menacing texture of the air, light, and material obliterates the location’s hospitality, and where the only question visitors can ask of themselves is if they are welcome there at all.



















[AIR PLAIN 3]

[AIR PLAIN 3]
2009, installation in situ à la galerie AAA, Saint-Jean-sur-Richelieu (CAN), peinture blanche fluorescente, tubes fluorescents noirs, dimensions variables.











Cette installation consiste en une représentation à échelle légèrement réduite des différents pans de murs constituant les limites de la salle d’exposition. Chaque pan est considéré indépendamment des autres et est le support de sa propre représentation. Ce projet est caractérisé par l’approche analytique et non plus synthétique de la forme du lieu. Il marque le début d’une tentative de désarticulation du modèle dans un premier temps, et de l’espace de l’installation dans un second. Il ouvre mes recherches à une exploration des modes de décomposition et de recomposition du modèle de l’espace.














Étude pour une réduction de l'espace de la galerie

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apperçu d'un autre vide

apperçu d'un autre vide
2009, 1/5, impression sur papier calque sur et sous verre, 178 x 122 cm.

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[AIR PLAIN 2]

[AIR PLAIN 2]

[AIR PLAIN 2]

[AIR PLAIN 2]
Vue depuis la petite salle

Cette installation in situ présentée chez SKOL (Montréal) en avril 2009 est une représentation par délimitation linéaire des différents plans, et à 70% de l’échelle 1, du volume d’espace disponible dans la galerie et des cloisons le limitant.

Ce modèle, réintroduit au sein même du réel qu’il représente, instaure une nouvelle dynamique visuelle. Le rapport de proximité permettant d’évaluer conjointement le motif et sa représentation, le contenant et le contenu, donne au spectateur la possibilité de faire ses propres mises en relation. Ces rapports originaux l’amèneront ainsi à effectuer un retour sur les conditions de sa perception de l’espace.

Volume à dessiner

Volume à dessiner
2009, rendu 2D des mesures de la salle d'exposition de la galerie SKOL, support et dimensions variables

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Étude

A-Condition

A-Condition
2009, installation in situ, galerie Verticale, Laval, Canada, montant de métal, MDF, peinture blanche,

Cette installation in situ est constituée de trois modèles architecturaux représentant à trois échelles différentes (90%, 60% et 50%) les parois internes de la galerie. Dessinant dans l’espace les contours des surfaces, les structures suggèrent en négatif le cloisonnement d’une architecture virtuelle.


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Étude pour le projet À Condition, 2008, mine de plomb et papier calque sur papier, 38 x 42 cm

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Nous l’apercevons comme élément vital – bien qu’il ne devienne pas une « chose » isolable pour autant – que pollué de poussière, en volutes de fumée, violent dans la tourmente ou manquant dans la noyade. Nous ne le sentons jamais mieux – comme matière, comme milieu, comme nécessité – que lorsque l’impureté règne et que la respiration se fait courte.


Georges Didi-Huberman, Gestes d’air et de pierre, corps, parole, souffle, image, Les Éditions de Minuit, Paris, 2005, p. 12.

[AIR PLAIN]

[AIR PLAIN]
2008, installation in situ au CDEx de l'UQAM, Montréal (CAN), MDF, peinture blanche, dispositif sonore redifussant avec un différé d'une demi seconde le son de l'espace de l'installation, 67% du volume de l'espace de la galerie.

En premier lieu, je voulais provoquer un manque de vide, d’air dans l’optique de reconsidérer notre relation inconsciente avec cet élément relativement aphénoménal. Cette installation est la représentation à 67% de l’échelle 1 du volume d’air contenu dans l’espace d’exposition. Un dispositif sonore rediffuse le son ambiant de la salle avec un différé d'une demi seconde, ce qui renvoi au spectateur un léger écho des sons qu'il produit et confère à l'espace une acoustique d'espace vide.
Reste accessible l’entre-deux, l’interstice entre le modèle et le lieu, la représentation et le réel, l’espace mimétique et l’espace littéral. La franche différence d’échelle entre modèle et réel qui permet normalement de distinguer les deux types d’espace et de comprendre leurs relations est ici réduite au strict minimum. Le spectateur, habitant dans un premier temps la représentation au même titre que le réel, est amené progressivement à comprendre la dimension mimétique de l’objet sans jamais en avoir une vue d’ensemble. Dans ces conditions, les repères à partir desquels nous pensons notre position sont à redéfinir.




[AIR PLAIN]

[AIR PLAIN]













Ici de l'air, d'ailleurs...

Ici de l'air, d'ailleurs...
premier plan : La source, 2007, techniques mixtes, 300 x 200 x 60 cm ; arrière plan : le nuage, 2007, intervention in situ à partir d'un mur en déconstruction.








La station, 2006, photographie numérique, impression 1/5, 61 x 104 cm







Le chinois d’en face 2, 2007, mine de plomb sur papier, 28 x 41 cm

CV

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